vendredi 11 janvier 2013

Haut voltage

Au Québec, il y a quelques années, nous avons eu droit à un film d'animation plutôt marrant : La véritable histoire du petit chaperon rouge

Pour ceux qui s'en souviennent, il contient un personnage très sympathique : un écureuil hyperactif qui fera l'expérience du café.

Aujourd'hui, mon cerveau, c'était cet écureuil. Et le merveilleux café corsé et noir de mes collègues n'a rien à voir là-dedans (même si je vide deux carafes à moi toute seule entre 7 h 30 et 17 h).

Certains spécialistes ont rencontré le cousin de l'écureuil : le hamster cérébral. Il y a même une certaine littérature à son sujet, dixit Pensouillard.
Bref, le principe est le même : les neuronnes s'agitent dans tous les sens. C'est la tempête. Le tsunami. L'ouragan. Le tremblement de terre. La crise du verglas qui paralyse notre sens commun, notre capacité à nous concentrer et visiblement, notre calme!

Et pendant que le cerveau tourbillonne autant que Dorothée à la recherche d'un Pays d'Oz merveilleux ou se reposer, l'individu, le corps, l'être, cherche avec désespoir une solution externe qui atténuera la tempête de sa tête, détournera l'influ sanguin des cellules cabocheuses et apportera une accalmie méritée. (Je pense que je suis encore sous la forte impression du naufrage de Pi...)

La solution, mes pas nerveux l'ont trouvée, en cliquetant des bottes jusqu'à la salle de réunion, ou dorment depuis Halloween une famille de sucettes colorées. Petit bonheur du jour : sucetteS au raisin bien chimique. Ma mère l'a toujours dit que le sucre calme...

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